The UN Working Group on Arbitrary Detention (WGAD) called Kem Sokha’s arrest and detention “politically motivated,” amid an “escalating trend in Cambodia of suppression of criticism of the government” ahead of the vote.
“The Working Group considers that Mr Kem Sokha has been deprived of his liberty on discriminatory grounds, namely his political or other opinion,”
Traduction partielle du texte en anglais par Cambodge Info
Le Conseil rappelle que les Accords de Paris signés par le Cambodge et 18 autres pays, incluant la France et le Royaume Uni, ont créé des obligations légales entre les signataires, incluant l’obligation pour le Gouvernement Cambodgien de maintenir un système de démocratie libérale sur la base du multipartisme aussi bien que du respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales. Ces engagements sont inscrits dans la Constitution cambodgienne.
Le Conseil condamne les récents développements politiques préoccupants et la détérioration continue de la Démocratie au Cambodge, du respect des Droits de l’Homme et de l’Etat de droit, incluant la répression grandissante de l’opposition, des médias et de la société civile.
Le Conseil demande fermement au Gouvernement cambodgien de ne plus utiliser le système judiciaire comme instrument politique pour harceler et intimider les Opposants, la Société Civile, et les défenseurs des droits de Travail et des droits de l’Homme.
Il réitère sa demande pour la libération immédiate de KEM Sokha. Il lance un appel au Cambodge de prendre des mesures nécessaires pour assurer que la dissolution du CNRP soit inversée rapidement et que les députés et des conseillers locaux du CNRP soient réintégrés. Avec les élections générales prévues pour Juillet 2018, la dissolution du CNRP va à l’encontre de la volonté des électeurs et mine la crédibilité du processus électoral actuel. Le Conseil rapelle que le processus électoral dans lequel le principal parti d’Opposition est arbitrairement écarté n’est pas légitime.
L’Union Européenne est le plus grand marché à l’exportation pour le Cambodge. Le Conseil note que le Cambodge a bénéficié d’un accès préférentiel au Marché de l’UE sous le schéma “Everything But Arms” (EBA). Dans ce contexte le Conseil rappelle que le respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, y compris des droits du travail, est aussi une partie cruciale liée à l’octroi des préférences commerciales. Le Conseil invite la Commission à surveiller plus étroitement la situation et à intensifier l’engagement avec le Cambodge au regard des dispositions avec ce règlement (EU) No 978/2012.
Le Conseil prévient que des mesures ciblées spécifiques pourraient être envisagées si la situation politique ne s’améliorait pas.
Le Conseil demande au Cambodge de restaurer la Démocratie et au Gouvernement d’engager un dialogue constructif avec l’Opposition élue. Le Conseil demande aussi que le Gouvernement du Cambodge prenne des mesures nécessaires pour assurer un environnement politique dans lequel les parties d’Opposition, la société civile et les médias peuvent fonctionner librement. L’EU est prête à assister le Cambodge pour qu’il remplisse ses obligations de démocratisation, du respect des droits de l’Homme et de l’Etat de droit et d’un développement économique durable.
Le gouvernement d’Allemagne a pris des mesures de sanction contre le gouvernement de HUN Sen, en suspendant les attributions des visas préférentiels à HUN Sen et à sa Famille, aux membres du Gouvernement, aux officiels militaires de haut rang et aux Présidents de la Haute Cour. Fin novembre, elle a refusé le visa d’entrée en Allemagne à SAR Kheng, Ministre de l’Intérieur de HUN Sen. Elle a encouragé les autres membres de l’Union Européenne à faire de même.
Elle est en tête de la croisade contre les mesures de répression menées par HUN Sen contre les médias, les ONGs et le parti d’Opposition, le CNRP qu’ HUN Sen a dissout après avoir emprisonné son Président, Mr. KEM Sokha, le 3 Septembre 2017.
Le Conseil européen du 26 Février va décider des actions possibles à prendre contre le Gouvernement de HUN Sen.
In a response to a parliamentary inquiry, the German government on Wednesday laid out a number of measures it has quietly taken over recent months to pressure the Cambodian government following its crackdown on media outlets, NGOs and the political opposition.
The response – which has not yet been made public, but was sent to the German parliament on Wednesday and obtained by The Post on Friday – reveals that the German government suspended preferential visa treatment for private travel by Cambodian government members, “including by Prime Minister Hun Sen and his family, by high-ranking military officials and the presidents of the highest Cambodian court”. It also says that Germany has encouraged other European Union members to impose similar measures.
According to the German government’s response to the parliamentary questions, the European Council – a body comprised of EU members’ heads of state – will meet on February 26 and decide on potential actions to take regarding Cambodia.
Visa Restrictions on Individuals Responsible for Undermining Cambodian Democracy
Press Statement
Heather Nauert Department Spokesperson
Washington, DC
December 6, 2017
As the White House stated in a November 16, press statement, the United States is taking concrete steps to respond to the Cambodian government’s actions that have undermined the country’s progress in advancing democracy and respect for human rights. These actions—which run counter to the Paris Peace Agreements of 1991 that ended a tragic conflict and accorded the Cambodian people democratic rights—include the dissolution of the main opposition political party and banning of its leaders from electoral politics, imprisonment of opposition leader Kem Sokha, restriction of civil society, and suppression of independent media.
In direct response to the Cambodian government’s series of anti-democratic actions, we announce the Secretary of State will restrict entry into the United States of those individuals involved in undermining democracy in Cambodia. In certain circumstances, family members of those individuals will also be subject to visa restrictions.
We call on the Cambodian government to reverse course by reinstating the political opposition, releasing Kem Sokha, and allowing civil society and media to resume their constitutionally protected activities. Such actions could lead to a lifting of these travel restrictions and increase the potential for Cambodia’s 2018 electoral process to regain legitimacy.
We will continue to monitor the situation and take additional steps as necessary, while maintaining our close and enduring ties with the people of Cambodia.
Sweden had given Cambodia an estimated $100 million in aid over five years, David said. According to Cambodia’s database of donors, Sweden ranked third for aid among individual EU member states last year after France and Germany.
Rights groups on Wednesday urged the European Union and Japan to consider halting their funding for the election panel in Cambodia, if the ruling party succeeds in a bid to dissolve the main opposition party ahead of next year’s general election.
…
“At that point, both the EU and Japan should face reality and terminate their financial and technical assistance to avoid lending credibility to what will be a charade of democracy,”
L’Assemblée de HUN Sen vient d’adopter les amendements aux lois sur les élections afin de s’attribuer les sièges du Parti d’Opposition, le CNRP.
Les Etats-Unis, par la voix du Département d’Etat, ont exprimé leur profonde inquiétude quant à la dépossession de leur voix pour plusieurs millions de votants. Ils demandent aux autorités gouvernementales de considérer les implications sérieuses de leur action.
Les Etats-Unis renouvellent leur appel pour que KEM Sokha soit libéré.
Press Statement
Heather Nauert Department Spokesperson
Washington, DC
October 16, 2017
We are deeply concerned by the National Assembly’s passage of amendments to Cambodia’s Election Law today. If ratified, these amendments, in conjunction with the lawsuit by the Cambodian Ministry of Interior to dissolve the Cambodia National Rescue Party (CNRP), would effectively disenfranchise the millions of people who voted for the CNRP in the 2013 and 2017 elections.
Genuine competition is essential to democracy and to the legitimacy of the 2018 national elections. History proves that suppressing legitimate political activity leads to more long-term instability, rather than less. We urge government officials to consider the serious implications of their recent actions.
We renew our call that the leader of the CNRP—Kem Sokha—be released from prison.
Norodom Ranariddh, dans l’interview qu’il vient d’accorder à Reuters, vient de réaffirmer sa position de soumission à HUN Sen. Son parti, avec un autre parti créé de toute pièce par HUN Sen, a déposé une requête pour dissoudre le Parti d’Opposition, le CNRP. Cette dernière a été utilisée par SAR Khéng pour formellement demander à la cour suprême de le dissoudre.
Norodom Ranariddh, au jour du 5ème anniversaire de la mort de Norodom Sihanouk, son père, vient de montrer au Peuple du Cambodge qu’il a choisi de collaborer avec la dictature de HUN Sen.
En acceptant sa vassalité à HUN Sen, Norodom Ranariddh salit l’image de la royauté khmère. Il trahit, par cette soumission à HUN Sen, l’âme des milliers de combattants morts pour leurs idéaux. Il a foulé aux pieds l’Honneur et la Dignité de la Royauté Khmère.
“This is a strongman’s coup d’etat, with Hun Sen shamelessly transforming himself into a dictator for the whole world to see,” said Phil Robertson, deputy Asia director for Human Rights Watch.
La tension entre HUN Sen et les Etat-Unis monte d’un cran
Cambodian Prime Minister Hun Sen called on the United States on Friday to withdraw Peace Corps volunteers in an escalating row over accusations that U.S. agents conspired with an opposition leader to plot treason.
According to the U.S Embassy, more than 500 Peace Corps volunteers have served and worked in Cambodia since 2006, providing English teaching and teacher training as well as community health education.
U.S. President John F. Kennedy established the Peace Corps in 1961 to promote world peace and friendship.
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